Lili, comment ça fonctionne ?
La technologie de Lili for Life repose sur des recherches scientifiques primées, menées par deux chercheurs rennais. Elle utilise des flashs lumineux imperceptibles à l’œil nu pour améliorer la perception de l’écrit chez de nombreuses personnes dyslexiques. Grâce à cette innovation, la lecture devient plus fluide, plus rapide et nettement moins fatigante, facilitant ainsi l’accès au sens du texte.
Lecture avec dyslexie et la lampe Lili
Par un effet stroboscopique de la lumière, invisible à l’œil nu, la lampe créée un décalage temporel de perception entre chaque œil.
Les images ne sont donc plus traitées simultanément par le cerveau et l’effet d’image « miroir » est effacé.
La personne arrive à lire sans difficulté le mot « parade ».
L’image n’est pas superposée.
Pratique et adaptée à toutes les personnes dyslexiques : découvrez Lili
Nomade et compacte
Emportez lili partout avec vous
Conçue et fabriquée en France, Lili a été pensée pour être aussi compacte que possible. Facile à plier, elle se glisse dans sa housse de protection et vous suit partout, que ce soit à l’école, au bureau ou en déplacement.
100% paramétrable pour votre confort
Ajustez votre expérience de lecture en toute simplicité
Grâce à l’application mobile Lili For Life (disponible sur iOS et Android), Lili est entièrement personnalisable. Modifiez les réglages de la lumière directement depuis votre smartphone pour l’adapter à vos préférences et assurer un confort de lecture optimal.
Autonome pour vous suivre partout
Jusqu’à 7.5 heures d’autonomie
Lili est équipée d’une batterie rechargeable offrant jusqu’à 7.5 heures de fonctionnement. Vous pouvez ainsi profiter d’un confort de lecture où que vous soyez, sans vous soucier de la batterie.
Pour les plus scientifiques
Grâce à la création d’un fovéascope pour leurs recherches sur l’œil, Albert Le Floch et Guy Ropars, chercheurs à Rennes, ont étudié plus précisément les cônes bleus au niveau des centroïdes de Maxwell (dans les fovéas, zone rétinienne au centre de la macula) et ont constaté une différence entre les normo-lecteurs et les personnes dyslexiques.
Chez le normo-lecteur, l’œil directeur a un centroïde « rond » formé par les cônes bleus alors que l’œil non-directeur a un centroïde de forme plus ovoïde. Grâce à cette différenciation, l’image perçue par l’œil dominant est transmise plus rapidement au traitement cérébral (aires visuelles occipitales et/ou Visual Word Form Area -VWFA).
Chez la personne dyslexique, les cônes bleus des deux yeux forment un centroïde « rond ». La disposition de ces photorécepteurs est donc identique d’un œil à l’autre. Les 2 images perçues seront transmises de façon simultanée à la zone de traitement de l’information visuelle. Les aires visuelles occipitales et la Visual Word Form Area devront alors traiter une superposition d’images bien délicate.
Contrairement aux personnes non dyslexiques, les personnes dyslexiques possèdent deux yeux dominants (elles n’ont pas d’œil directeur), ce qui crée des images miroirs ou superposées qui perturbent la lecture.
Ce qui, pour un texte, pourrait correspondre à ceci :